Série LAdultère : (Partie 16). Ma Voisine Était Une Vraie Salope.
Je mappelle Alain, je vais moi-aussi vous raconter mon adultère dans la série de Cyp Perruche. Dans les années 80, javais 26 ans, jétais marié depuis quatre ans à Martine, une jeune femme de mon âge avec laquelle nous avions un petit garçon de trois ans et demi : Félix. Même si avant de connaitre mon épouse, étant sportif et plutôt beau mec, javais eu des relations sexuelles, depuis mon mariage, je navais jamais couché avec une autre femme que la mienne. Pourtant il métait déjà arrivé plusieurs fois, de me faire draguer mais je navais jamais franchi la ligne blanche car jaimais bien trop Martine pour la perdre.
Jétais électromécanicien, jétais employé toute lannée comme intérim, nous gagnions correctement notre vie, jusquau licenciement économique de mon épouse Martine. Ayant quun emploi précaire, javais eu lopportunité, suite à une annonce passée dans le journal, de trouver un poste dagent de maintenance au service entretien dune grande usine dans le centre de la France. Avant de changer de région, grâce à mon nouveau directeur, Martine pouvait travailler les samedis et les dimanches matin comme vendeuse dans une boulangerie. Cette année-là nous venions de déménager au mois de juillet, dans une résidence toute neuve.
Cet appartement, nous lattendions avec impatience depuis plusieurs semaines. Dans le bâtiment nommé « Hirondelle », nous étions quatre locataires par étage et nous logions au dixième. Pendant tout lété, jusquà la rentrée scolaire, dans limmeuble de nombreux logements étaient inoccupés. Sur notre palier, deux appartements étaient encore vacants, le quatrième était occupé par un couple avec deux jumeaux, un garçon et une fille de quatre ans. Comme nous, ils nétaient pas de la région, ils étaient originaires de Vendée. Ni lun ni lautre ne travaillait, le mari était inscrit au chômage et sa compagne touchait les allocations familiales.
Martine ne connaissant personne sétait vite trouvé une amie, ayant des s de lâge de Félix, Flavienne passait de nombreuses heures à la maison.
Mon épouse était en admiration devant la beauté de Flavienne, elle me décrivait cette femme de 35 ans comme elle aurait voulu être : 1,68 m, 56 kilos, sans aucune cellulite, ayant une superbe poitrine, des cheveux blonds, des yeux bleus, une bouche souriante. Pourtant Martine me plaisait beaucoup avec sa petite poitrine, ses cheveux châtains, ses 1,52 mètres, ses 45 kilos et ses yeux noisette.
Quinze jours après, dès la fin juillet, ma femme les avait déjà invités et depuis cétait devenu un rituel, tous les samedis soir, les voisins dinaient à la maison et quelques fois en semaine, ils venaient jouer aux cartes. Jean-Claude ne serait jamais mon ami, cétait quun beau parleur, un prétentieux, un profiteur et un menteur invétéré. Ma femme le trouvait très sympa, pour elle, je faisais beaucoup deffort pour le supporter. Quant à Flavienne, Martine ne mavait pas menti, cétait un vrai canon, « une super gonzesse » comme on en voit que dans les films. Elle était non seulement très agréable à regarder mais sensuelle et très gentille, peut-être un peu trop.
En effet, après quelques visites à la maison, Martine buvant les paroles de Jean-Claude, ma voisine devenait de plus en plus tactile avec moi. Elle choisissait toujours de se placer face à son mari et à côté de moi, sa jambe se frottait à la mienne, puis sa cuisse. Après quelques jours, ce fut au tour de sa main qui sétait retrouvé par hasard entre lintérieur de mes deux cuisses. Je ne vous dis pas la sensation que jeus à ce moment. Après un bref regard vers Martine et Jean-Claude qui ne sétaient aperçu de rien, je navais esquissé aucun geste pour lui enlever, cette sensation de plusieurs minutes était bien trop exquise.
Excuse-moi, si je tai gênée. Tu es bien monté dit donc.
Ce soir-là, rien dautre ne sétait passé hormis au moment de nous quitter, elle avait posé ses mains sur mes épaules, se mit sur la pointe des pieds et avait effleuré mes lèvres en me faisant la bise. Je compris alors que jallais faire une connerie prochainement, je ne voulais pas tromper Martine mais cette salope commençait à mobséder. Je fis tout pour quils ne viennent plus à la maison. Néanmoins, Martine insistait, je reportais la faute à Jean-Claude, disant que je ne le supportais plus :
Je nai queux comme amis, tu pourrais quand même faire des efforts. Insistait ma femme.
Les soirées se succédaient, ce soir-là, Jean-Claude jouant avec les gosses pendant que ma femme faisait la vaisselle, Flavienne navait pas hésité à glisser sa main sous le tissu de mon short pour caresser du bout de ses doigts ma verge tendue, mon gland gonflé de désir et mes testicules. Elle me prit même ma main afin que je lui doigte la vulve, à ma surprise, elle ne portait pas de petite culotte. Vous vous doutez bien, quaprès cela, ce qui devait arriver, arriva.
Le lendemain, le dimanche matin, ma femme était déjà partie travailler à la boulangerie, je devais emmener Félix à dix heures, fêter lanniversaire dun de ses copains. Les s de Flavienne étaient également invités, nous nous étions retrouvés dans lascenseur. Pendant que les s se disaient bonjour en samusant, Flavienne eut le culot de poser sa bouche sur la mienne en sortant sa langue. Je navais pas ouvert la mienne, même si jen avais eu très envie, javais mon fils devant moi et javais peur quil saperçoive de quelque chose. Pendant la descente des dix étages, en sentant ses doigts sur mon sexe, je compris que ma voisine ferait tout pour que cela arrive aujourdhui, en revenant de chez nos amis.
Bien entendu, cette femme était un appel à lamour, elle avait tout ce quil fallait où il fallait et me voulait à son tableau de chasse. Les pensées malsaines tournaient en boucle dans ma tête. Je ne faisais pas lamour tous les jours, Martine trouvait toujours des excuses pour éviter lacte. Entre « Jai mal à la tête ou ce soir, je suis trop fatiguée ou jai mes règles », elle savait se défiler et par une bonne masturbation dont elle était passée maitre en la matière, elle assouvissait mes pulsions sexuelles.
Sur le trajet du retour dune cinquantaine de mètres à pied, Flavienne me dit que je lexcitais fortement et quelle voulait baiser avec moi. Dans un premier temps, je lui avais refusé, prétextant que jaimais Martine et que je ne voulais pas la tromper. Lorsque nous nous étions retrouvés tous les deux dans lascenseur, jétais rassuré, jétais parvenu à lui résister malgré lénorme érection que javais entre les jambes. Flavienne était bien plus que bandante, je navais jamais connu ce genre de femme directe, une vraie salope en fait !
Lorsque la double porte de lascenseur souvrit après quelques petites secondes, je me rendis compte que nous nétions pas montés mais que nous nous retrouvions au sous-sol. Dune main ferme, elle mextirpa de la cabine, elle ouvrit la lourde porte coupe-feu qui menait aux caves :
Jai envie que tu mencules Alain. Me dit-elle de but en blanc.
Je nen revenais pas, je navais jamais fait cela et depuis bien longtemps cétait pour moi quun fantasme, je savais que je ne pourrais jamais demander cela à Martine qui avait déjà des difficultés à faire lamour autrement que dans la position du missionnaire. Les pensées perverses ressurgissaient dans mon cerveau mais jétais incapable de répondre, ce fut elle qui me sortit de ma léthargie :
Alain ! Ne me dis pas que tu nas pas envie, tu as vu comme tu bandes.
En effet, leur cellier était entièrement clos et éclairé par une petite lucarne. Le sol en terre battue était entièrement recouvert dun balatum, il y avait quelques cartons bien rangés contre le mur du fond, un canapé usagé mais encore en bon état et une table basse où était posé un rouleau dessuie-tout. Sans attendre, Flavienne sagenouilla devant moi, me baissa mon slip et mon pantalon et pris mon sexe dans sa main et lavala, tout en me caressant la hampe et les testicules. Mon érection était démentielle, jallais exploser dans sa bouche, sa langue chaude tournait autour de mon gland, jhaletais, la sensation de bien-être était bien plus forte que la culpabilité. Martine nétait plus du tout dans mes pensées, je ne pensais quà me retenir, je ne voulais pas éjaculer tout de suite.
Flavienne compris lorsque mes râles devenant plus forts, ma respiration saccélérant. Elle retira ma queue de ses lèvres, sétait relevée, retroussa sa jupe en se penchant sur le sofa :
Dépêche-toi Alain, Jean-Claude va simpatienter. Viens ! Prends-moi tout de suite.
Ces mots mexcitèrent un peu plus, javais hâte de lui pénétrer lanus. Je trouvais cela super génial, jessayais dêtre performant en restant un maximum dans son conduit anal, tout en douceur. Cependant, jétais beaucoup trop sentimental pour elle, elle désirait que je la prenne comme une chienne avec force et détermination :
Encule-moi plus fort bon dieu ! Fais-moi mal ! Défonce-moi le cul ! Oui comme ça ! Cest bon
Alain
Oui !
À ce moment-là elle coula comme une fontaine, je navais jamais vu cela, ça narrêtait pas, je métais retiré pour admirer le spectacle :
Non ! Encule-moi encore ! Plus fort ! Me dit-elle.
Je menfonçai de nouveau et après quelques va et viens violents, je restais au plus profond de son rectum et pris mon plaisir après elle en me déversant par de longs jets de semence. Cétait nouveau pour moi mais magique. Javais énormément apprécié, jamais je ne fus excité de la sorte, cétait certainement dû à linterdit, lendroit insolite, la sodomie aussi, les propos tenus par Flavienne et bien entendu sa jouissance.
Je savais que cétait mal et très dangereux, mais cette gonzesse savait tellement si prendre que je ne pouvais pas mextraire de ses griffes. Flavienne mavait mis le grappin dessus. Je ne pouvais plus me passer de cette salope, de ses caresses chez moi sous la table, de ses magiques fellations, je navais pu mempêcher de venir la sodomiser tous les dimanches matin et quelques fois en semaine.
En effet, elle sarrangeait les mercredis soir alors que ma femme gardait ses s pour se trouver dans le sous-sol lorsque je quittais mon travail. À la sortie du garage, elle se plaquait à moi de tout son corps membrassait et me disait :
Encule-moi mon chéri
Elle memmenait dans sa cave et je passais vingt minutes superbes, jétais devenu accroc à son cul. Cela avait duré plus dun mois, je ne laimais pas, jappréciais uniquement baiser avec elle. Néanmoins, Martine avait changé de comportement depuis quelques temps. Je vous raconterai la suite dans quelques jours. Je ne veux pas me chercher dexcuse, jai bien trompé ma femme, néanmoins je pense que beaucoup dhommes mariés seraient tombés dans ladultère pour sodomiser une salope comme Flavienne.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Alain vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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